« Ne vous inquiétez pas Madame Sandner »
Pour réaliser mon extension, j’ai choisi de travailler avec DSM (Da Silva Matias, et non Domination Sado-Masochisme), un entrepreneur qui m’a inspiré confiance dès le départ, qui a pris des heures à comprendre mon besoin, à me prodiguer ses conseils, à trouver les meilleurs solutions et à établir un devis aussi compétitif que possible. Un entrepreneur que je harcèle de SMS et de coups de fil pour discuter de détails et qui jamais ne montre le moindre signe de pourtant légitime exaspération. Un entrepreneur pour lequel je me sens pétrie de reconnaissance et d'affection, sans ambiguïté aucune. Je ne connais rien de sa vie, que je ne lui raconte pas la mienne, ce n’est ni un pote, ni un ami, juste mon entrepreneur. Et pourtant, ce type, je l’aime ! Je ne peux pas mieux dire. Je l’aime comme quelqu’un de ma famille, comme quelqu’un à qui on confie son bébé.
Ce matin, alors que j'avais pour la énième fois Matias au téléphone pour prendre ma dose quotidienne d’anti-anxiolytique, je m’interrogeais sur l’origine de ce sentiment. Je me suis rendu compte que personne ne me parlait de cette façon, avec ce ton rassurant, bienfaisant, protecteur. Il se met en prise directe avec mes angoisses et manifeste une empathie qui me touche au cœur. Je sens qu'il se soucie sincèrement de ma sérénité et de ma satisfaction. Dès que je l’entends me dire « ne vous inquiétez pas Madame Sandner », je suis traversée par une vague de béatitude et j’ai l’impression de pouvoir mettre ma vie entre ses mains. Tout le contraire des « t’inquiète pas » de mon mari et de mes enfants qui sont plutôt des signes d’alerte que je dois m’inquiéter grave !
La vérité c’est que le monde entier attend de moi d’être le porte-étendard invincible boutant problèmes et soucis hors d’ici. La femme forte qui n’a pas le droit de douter, de déprimer, de faiblir. Mais moi je rêve qu’on me choie, qu’on me traite comme une petite chose fragile avide d’attention et de protection… sans pour autant me dominer, me diminuer ou, pire, agir avec condescendance. Et je crois bien que Matias est le seul être de mon entourage à réussir intuitivement ce subtil exercice d’équilibrisme !
Vous voulez, vous aussi, trouver votre Matias ? Découvrez ici comment choisir votre artisan du bâtiment, sur la foi de mon expérience (illustré d'un diaporama de mes travaux d'extension).