Infidélité, retards, absences et manque d'entrain sur mon blog : A qui la faute ?

Publié le par Juliette

La situation n’a que trop duré, je vous dois des explications. Voilà bien trois mois que mon infidélité bloguistique est devenue flagrante, non seulement je brille par mon absence sur vos blogs que j’aime mais il m’arrive parfois de prendre plusieurs jours pour répondre à vos commentaires. Mon rendement de deux à trois nouveaux billets par semaine s’est notablement effrité et je cède parfois à la paresse, en éditant un post que j’ai gardé dans mes cartons et qui frisent la date de péremption. Mais je vous assure que tout ceci n’est pas de ma faute. J’ai des circonstances atténuantes, indépendantes de ma volonté. D’abord, c’est la faute à l’hiver qui fait chuter de 30% mon énergie et mes capacités intellectuelles. C’est la faute à trop de boulot aussi, entre mon job d’auteur à la télé le mercredi, mon activité de consulting en entreprise le mardi et le jeudi, l’écriture de mes bouquins le reste du temps, avec un opus à livrer tous les deux mois jusqu’à fin mars, c’est un peu l’usine. C’est la faute à mes hommes enfin, dont il faut bien que je m’occupe avant de plonger dans la blogosphère (je sais, je n’ai aucun sens des priorités).
Mais la très grande faute à revient à un nouveau venu
, que j’ai pourtant appelé de mes vœux et accueilli à bras ouvert, innocente que je suis. Un nouveau venu qui, pour me remercier de mon hospitalité et de mon dévouement à toute épreuve, ne trouve pas mieux que de me rendre littéralement malade, et ce depuis le mois de novembre, soit 3 mois à me prendre la tête entre mal au cœur et grosse fatigue. Je sais que la délation est mal vue en France, mais je n’en peux plus ! Je suis prête à dénoncer aujourd’hui le vrai coupable de mon manque d’entrain et de fidélité bloguistique, qui n’est que la triste conséquence des agissements de ce nouveau venu hégémonique. Je n’ai pas son nom, mais voilà grosso modo à quoi il ressemble à l’heure ou je vous parle (admirez comme il a déjà pris la grosse tête !) :

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D
Sincères félicitations! rien de plus beau qu'un bébé. Bon courrage, bonne santé à toi, au bébé...et évidement au papa!
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J
Mais c'est que t'as raison, je pensais que Martin était le papa signataire du blog et Juliette l'enfant en l'honneur duquel il a été créé ! (remarque, si mon fils se choisit un beau mâle, j'en ferais pas une maladie)... La phrase "Une juliette qui habite au Vietnam" reste donc un mystère... ça doit venir de la maman je suppose ?
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N
Je pense bien te l'avoir déjà dit en vrai , mais encore félicitations !au fait je te signale que tu essayes de refourguer ton fils à ... un autre petit garcon !! lolmais on mettra ca sur le compte de la fatigue et des hormones ^^ bonne soirée !! ;-)
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J
"Exploser les vente", quel optimisme ! M'enfin, que Dieu t'entende ! Mais c'est vrai que Hachette me parle déjà d'un projet sur la grossesse pour une autre collection (en fait ça devait être ma quatrième courge, mais le sujet n'était pas assez universel... et moi qui avait programmé pil poil ma grossesse pour être synchro  avec  l'écriture, je me suis fait eu !). Quand aux enfants, je n'en suis qu'au deuxième et il n'est pas encore là (mais c'est vrai que 3, ça a un petit goût de challenge qui me plait bien... même avec 41 ans révolus au compteur !). Quant à lâcher les baskets de mon mec, faut bien que je me défoule un peu, lui il a son ordi, moi j'ai mon blog (en plus y'a des mecs - et même des nanas comme toi - qui prennent sa défense... C'est fou comme il provoque toujours ça chez les gens, l'envie de le protéger et de s'occuper de lui).... De toute façon j'ai promis de faire très bientôt un papier sur toutes les bonnes raisons pour lesquelles, malgré mes sournoises attaques, c'est quand même l'homme de ma vie !
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A
Espèce de veinarde ! Tu vas pouvoir nous raconter dans les plus petits détails ta grossesse et ce sera encore un roman pour les Courges que nous sommes qui explosera les ventes ! Moi, qui n'aurai jamais ce 3ème tant désiré, Je me réjouis profondément pour toi, Juliette. La vie est belle. Portez-vous bien Juliette and co. PS : et si tu lui lachais les baskets au mâle qui va devoir supporter toutes tes humeurs pendant les 6 mois à venir, bichette ;o)))
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